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Les EGOlogues en puissance !



Ego

De plus en plus, un événement, une expérience, n'ont de valeur que s'ils sont partagés – Internet permettant cela, les gens y vont à fond !

Même quand on y pense, quand vous mettez à jour vos statuts (Facebook, Twitter), c'est toujours pour vous mettre en avant d'une certaine manière. Vous ne twittez pas tous vos achats, vos concerts, vos actions… seulement ceux qui vont dans le sens de l'image que vous souhaitez donner. Attention je ne m'exclue pas du lot, ma note de dimanche en est la preuve flagrante d'ailleurs mais nous sommes entrés dans une société du paraître et il n'est pas si simple de ne pas entrer dedans (d'autant plus à Paris il me semble). Mais je diverge un peu…restons un instant sur cet apport d'intelligence (parfois) sur la toile. Est-ce que ce partage de connaissances (linux, wikipedia, les blogs et même twitter…euh non pas Twitter…) génère des informations superficielles ou permet, au contraire, d'aller en profondeur, d'aller plus vite ? Joel de Rosnay parle d'une société aux "connaissances modulaires, lacunaires et partagées" dans laquelle nous passons de l'information à la recommandation, cette dernière devenant plus importante que la première. Reste ensuite la problématique du "qui croire" et de comment démêler le faux du vrai dans cette explosion des contenus UGC (User Generated Content) ? Le ranking de Google nous prouve chaque jour qu'il n'est plus aussi pertinent qu'il a pu l'être tant la masse d'informations est importante à gérer. D'où l'importance de prendre du recul face à tout cela. Rappelez-vous les différents contenus qui constituent une entreprise

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