Et si c’est eux qui vous trouvaient finalement ? Comme l’explique l’article d’Emarketer, dans une période de récession les consommateurs sont beaucoup plus vigilants à ce qu’ils achètent. Par conséquent, et de manière assez logique, ils vont chercher à travers les moteurs de recherche le meilleur rapport qualité/prix. Cela signifie pour les marketers d’être particulièrement visibles dans ces moteurs forcément… De fait, en période de récession, le search marketing se porte plutôt bien puisque c’est un outil indispensable pour aller chercher de nouveaux clients.
Généralement, on pense tout de suite au référencement payant mais cette stratégie très court terme fini par véritablement couter cher et surtout ne permet pas de construire sur la durée. A l’inverse, le référencement naturel permet de construire une véritable stratégie long terme – bien sur les résultats ne sont pas visibles tout de suite et cela demande beaucoup plus de travail pour maintenir le site et l’optimiser sur la durée mais le résultat, si cela est bien fait, va permettre d’améliorer de manière plus que significative votre visibilité. Une bonne stratégie sera donc de travailler sur référencement naturel pour faire baisser au fur et à mesure le budget référencement payant (généralement privilégié au reste). Quoiqu’il en soit, quand on regarde les chiffres qu’annonce emarketer, clairement ce marché va être une croissance continue jusque 2013 (sans doute après aussi). Toutefois, le souci pour les annonceurs est de trouver l’entité qui va s’occuper au mieux de sa stratégie de search marketing car il existe une multitude de prestataires avec autant de méthodes. Pour m’y intéresser de près à travers notre structure LegitiName, je me rends compte que beaucoup d’éléments entrent en ligne de compte et auxquels on ne pense pas forcément comme, par exemple, la gestion du portefeuille de noms de domaine typiquement. Ok, nous ne sommes pas vraiment dans le search mais finalement c’est la base pour que les gens puissent vous retrouver facilement (et les moteurs aussi d’ailleurs). Quand on voit qu’un site comme microsoft.com est typosquatté à 56%, il y a de quoi se poser des questions…
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