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Photo du rédacteurGregory Pouy

Quelle est la vraie valeur des réseaux sociaux ?

Afin d'écrire cet article, je me suis basé sur ce dernier, blog que j'avais déjà pris en référence d'ailleurs car la manière dont il amène les choses est souvent intéressante. Et cette question particulièrement puisqu'elle revient sans cesse dans la bouche de nos amis les marketers et clients.

Et puis, après tout, c'est une question qu'on est en droit de se poser non

Alors ?

Une étude récente sur les médias sociaux expliquait que parmi les petites entreprises qui avaient investit sur Twitter, 22% faisaient du profit, 53% restaient à l'équilibre, 19% avait perdu de l'argent après s'y être investit.

Ils ont complètement raté le principe même des médias sociaux ! Pour faire simple, Twitter n'a aucune autre valeur que celle que vous lui donnez – finalement la valeur de Twitter, c'est vous ! Et c'est ca qui fait la différence ! De la même manière on pourrait dire que 22% des petites entreprises qui ont utilisé le téléphone portable dans leur entreprises ont gagné de l'argent ect… Le problème, ce n'est pas tant le téléphone portable, c'est uniquement un outil. Le téléphone portable ne peut pas aider si vous ne savez pas bien communiquer. Et c'est exactement la même chose pour Twitter, Facebook ou autre…En tant que tel ils ne valent rien. Ce sont uniquement un outil qui permettent de mieux communiquer.

Au mieux vous pouvez apprendre des 22% qui ont gagné de l'argent et des 19% qui en ont perdu, ignoré les 53% qui n'en n'ont rien fait ! Mais rien à faire de plus de ces statistiques.

La question n'est pas de savoir s'il faut y aller (ignorer un tel mouvement sociétal serait une un non sens marketing) mais comment il faut y aller. Évidemment, en fonction des problématiques, les stratégies ne peuvent pas être les mêmes et il s'agit d'être précautionneux et bien accompagné.

Je crois aussi que finalement, ce qui manque, c'est un indicateur unique sur les campagnes sur les médias sociaux. Le monitoring d'Internet connaît plusieurs problèmes : – Une multitude d'indicateurs qui brouillent le message plutôt que l'éclaircir (iso le grp sur la tv) – ce qui ne veut pas dire qu'il ne peut pas y avoir d'indicateurs intermédiaire plus précis pour ceux qui souhaitent pousser l'analyse (mais généralement le CODIR ne s'intéressent pas aux éléments intermédiaires). – Des agences qui ont toutes leur indicateur qu'elles gardent jalousement ce qui est débile car plus que l'indicateur en soi, ce qui a de la valeur, c'est la comparaison (dans le temps, entre les campagnes, entre les entreprises).

A l'instar de ce site qui permet de donner de donner une note sur sa visibilité – en dehors du fait que c'est hyper bien fait et assez exact car cela recoupe plein de sources différentes et pertinentes, c'est la note unique et la comparaison qui permet de jauger. Alors qui doit définir cet indicateur ? Une agence ? Un institut ? Un syndicat professionnel ? A l'heure d'un marché très ouvert et en pleine construction, je pense que "c'est celui qui dit qui y est", cela dit, un institut comme Forrester serait sans doute le plus légitime…

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